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J'ai décidé de prendre deux projets de roman en compte, Blue Hours - vous avez déjà été présentés l'un à l'autre, ne faites pas semblant de l'ignorer - et Lavender Blood, au titre plus que douteux parce que très très provisoire - mais du genre provisoire qui dure. Bref. J'en ai un peu marre de devoir choisir, donc j'ai décidé de ne pas choisir et d'écrire ce qui me faisait envie, sachant que ces deux projets sont très différents et que c'est principalement pour cette raison que je me permets de le faire.


Pour les oublieux du fond de la classe, Blue Hours est plus ou moins my number one ever - à prononcer avec un accent anglais bien moche, merci. Il s'agit d'une fiction contemporaine. J'y parle des heures qu'on garde pour deux, de la peinture bleue, des ramens, des baleines un peu trop tristes, de tout ce qui se passe derrière un objectif, de fins de contrats, de substituts de père, d'appartements vides et de la douleur du deuil. Elle était mannequin, il a un secret.


Lavender Blood, quant à elle, est une fiction fantastique. J'y parle de colocataires bizarres qui sont incapables de faire fonctionner correctement un micro-ondes, de trolls encombrants, de fleurs et de ce qu'elles signifient, de blessures cachées, de fausses identités et d'un prince en détresse. Elle jure comme un charretier et il ne sait pas mentir.


En ce moment pour être honnête j'écris surtout sur Blue. J'essaie très fort de faire en sorte que tous les morceaux de scènes que je collectionne avec Blue Hours depuis 2014 - j'en ai déjà parlé sur le premier article, si ça vous rappelle quelque chose - s'emboîtent correctement pour pouvoir obtenir des vrais chapitres, avec des vrais actions qui se suivent, et pas des ellipses de trois siècles communément appelées parce-que-ce-jour-là-j'avais-la-flemme-de-t'expliquer-pourquoi-le-personnage-C-s'en-va-et-où-il-part-et-puis-débrouille-toi-merde. Aujourd'hui, 05 juillet 2018, 20H13 au compteur à l'intant où j'écris ces lignes, Blue est un beau bébé de 49791 mots (wow, bientôt un nano entier !) et 81 pages sans compter le fichier attenant où j'ai tout un tas d'autres morceaux d'écrits. Oui, c'est le bordel, JE SAIS.

La fin de mon chapitre sept me pose problème parce que je ne sais pas trop comment le terminer, j'ai l'impression d'avoir trop de dialogues accolés les uns aux autres et ça me fait drôle, il va falloir que je coupe ça avec une scène mais aucune idée de laquelle pour l'instant. (Pour ceux qui se le demanderaient à ce stade, non, je n'ai pas de plan détaillé. Pas de "houuu", merci, je vous ai entendu dans le fond ! J'ai une idée et une direction générale mais pas mal de questionnements entre chaque gros point et tournant.)

J'ai commencé le chapitre huit hier soir.

Et vous, les moussaillons ? (J'ai aussi décidé de finir par une phrase ringarde à chaque fin d'article, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais j'y arrive plutôt bien.)


Dernière phrase écrite :

" Regarde la route et compte toutes les voitures rouges que tu vois, ça t'occupera et ça t'évitera de me poser d'autres questions idiotes !"

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